Pour chaque QCM, cochez la(les) lettre(s) représentant la(les) bonne(s) réponse(s).



Cisaillement

1

Question n°1 :


Un cours d’armatures transversales est constitué d’un cadre et de 2 étriers HA 8.
Sachant que l’aire d’un HA 8 est de : 50,3 mm², l’aire `bbA`sw de la section d'un cours d'armatures transversales est :

A

B

C

D

2

Question n°2 :


Un cours d’armatures transversales est constitué d’un cadre et de 2 épingles épingles HA 8.
Sachant que l’aire d’un HA 8 est de : 50,3 mm², l'aire `bbA`sw de la  section d’un cours d’armatures transversales est :

A

B

C

D

3

Question n°3 :

La distance du premier cours par rapport au nu de l’appui, noté s0 :

A

B

C

D

4

Question n°4 :

Soit une poutre isostatique (travée unique) de portée entre nus des appuis :  Ln = 6 m  , chargée uniformément.
Largeur : bw = 300 mm ;           hauteur : h = 600 mm
Valeur du premier espacement calculé à partir de l’effort tranchant : s1 = 12 mm``.
La position du premier cours d’armatures transversales est définie par l’expression :

 `s_0=min{"sup"[h/6;70mm];s_1/2}`

La valeur de s0 est :

A

B

C

D

5

Question 5 :

Soit une poutre telle que la hauteur vérifie : h > 250 mm ;
Soit sl ,max  l’espacement maximal longitudinal des cours successifs d’armatures d’effort tranchant : (cadres, …) ;
Soit st ,max  l’espacement transversal des brins verticaux d’un même cours d’armatures d’effort tranchant ;
Soit d  la hauteur utile dont la valeur, pour une poutre courante, doit vérifier
d `<=` 0,9h.
Quelles sont les réponses correctes ?

A

B

C

D

6

Question n°6 :

Soit une poutre isostatique (travée unique) de portée entre nus des appuis : Ln= 6 m , chargée uniformément ;
Largeur : b= 300 mm ; hauteur : h = 600 mm ;
Soit  sl,max  l’espacement maximal longitudinal des cours successifs d’armatures d’effort tranchant : (cadres, …) sl,max = 405 mm    ;
La distance du premier cours par rapport au nu de l’appui : s= 60 mm ;
Le premier espacement calculé à partir de l’effort tranchant : s1 = 120 mm ;
Pour la détermination des espacements suivants, on utilise la méthode simplifiée de CAQUOT, valable uniquement pour les charges réparties.
Soit la suite numérique de Caquot:
70   80   90   100   110   130   160   200   250   350  600 en mm
La ligne de cotation (en mm) des espacements des cours successifs sera :

A

B

C

D

7

Question n°7 :


Soit une poutre en béton armé dont la schématisation est proposée ci-dessous.

 

Figure 1. Schéma mécanique d’une poutre constituée d’une travée uniformément chargée.

On modélise le fonctionnement mécanique d’une poutre en béton armé comme celui d’un treillis que l’on nomme treillis de Ritter-Mörsch.
Les barres d’un treillis sont sollicitées uniquement à des efforts normaux soit de compression soit de traction.
Ce treillis est constitué :

  • d’une membrure qui représente le béton comprimé dans la partie supérieure de la poutre ;
  • d’une membrure inférieure tendue représentant les armatures longitudinales ;
  • de diagonales représentant les bielles de béton inclinées d’un angle de `theta`  = 45° ;
  • de montants représentant les armatures d’effort tranchant (d’âme) verticales.


Figure 2. Treillis associé à la modélisation de la poutre en béton armé avec armatures d’effort tranchant verticales.

Quelles sont les propositions exactes ?

A

B

C

D

8

Question n°8 :

Soit une poutre en béton armé dont modélisation en treillis de Ritter-Mörsch est proposée ci-dessous.


Figure 3. Schéma mécanique du treillis associé à la modélisation de la poutre en béton armé avec armatures d’effort tranchant droites.

On se propose de déterminer les efforts dans certaines barres du treillis. On utilise la méthode de Ritter. Au voisinage de l’appui droit, la coupure pratiquée permet de visualiser les efforts recherchés suivants (Fcd ,Ftd ,Fswd) dont les intensités déterminées par application du Principe Fondamental de la Statique sont :

 

Figure 4. Isolement d’un tronçon de treillis.

A

B

C

D

9

Question n°9

Soit une poutre en béton armé dont modélisation en treillis de Ritter-Mörsch est proposée ci-dessous.


Figure 3. Schéma mécanique du treillis associé à la modélisation de la poutre en béton armé avec armatures d’effort tranchant droites.


On se propose de déterminer les efforts dans certaines barres du treillis. On utilise la méthode de Ritter. La coupure pratiquée permet de visualiser les efforts recherchés suivants (Fcd,Ftd,Fswd) dont les intensités déterminées par application du Principe Fondamental de la Statique sont :


Figure 4. Isolement d’un tronçon de treillis.

A

B

C

D

10

Question n°10 :

Soit une poutre en béton armé dont la modélisation en treillis de Ritter-Mörsch est proposée ci-dessous.

 

Figure 3. Schéma mécanique du treillis associé à la modélisation de la poutre en béton armé avec armatures d’effort tranchant droites.

On se propose de définir l’évolution de l’intensité des efforts dans les barres. suivants 
Fcd = Ftd : l’intensité des efforts dans les membrures ;
Fswd : l’intensité de l’effort dans les montants.
D’après les 2 questionnaires précédents, lorsqu’on s’éloigne de l’appui, comment évoluent ces intensités :

A

B

C

D

11

Question n°11 :

Soit une poutre en béton armé dont la schématisation est proposée ci-dessous.

 

Figure 1. Schéma mécanique d’une poutre constituée d’une travée uniformément chargée.

On modélise le fonctionnement mécanique d’une poutre en béton armé comme celui d’un treillis que l’on nomme treillis de Ritter-Mörsch.
Les barres d’un treillis sont sollicitées uniquement à des efforts normaux soit de compression soit de traction.
Quelles sont les propositions correctes ?

A

B

C

D

12

Question n°12 :

Soit une poutre en béton armé dont la modélisation en treillis de Ritter-Mörsch est proposée ci-dessous.

 

Figure 3. Schéma mécanique du treillis associé à la modélisation de la poutre en béton armé avec armatures d’effort tranchant droites.

On se propose de déterminer des efforts dans les barres. On utilise la méthode de Ritter. Au voisinage de l’appui droit, la coupure pratiquée permet de visualiser les efforts suivants (Fbd , Ftd).
Fbd : effort de compression dans la bielle d’about ;
Ftd : effort de traction dans les armatures pour équilibrer ce nœud, ce qui oblige à prolonger et ancrer la totalité ou une partie du premier lit.

 

Figure 4. Isolement d’un tronçon de treillis.

Les intensités déterminées par application du Principe Fondamental de la Statique sont :

A

B

C

D

13

Question n°13 :

Soit une poutre de hauteur constante appartenant à un plancher béton armé :
Lorsque l'effort tranchant agissant de calcul, dû aux chargement appliqué, augmente, les espacements des cours d’armatures transversales :

A

B

C

D

14

Question n°14 :

Soit une poutre de hauteur constante appartenant à un plancher béton armé :
On s’interroge sur la relation entre le signe de l’effort tranchant et les cours d’armatures transversales :
Quelles sont les propositions correctes ?

A

B

C

D